Les dépassements d’honoraires
 - En fait, le complément d'honoraires est la seule variable d'ajustement pour compenser le désengagement de la sécurité sociale notamment dans le remboursement des actes dentaires et plus particulièrement prothétiques et orthodontiques et pour faire face à l’augmentation des charges des cabinets dentaires qui se sont tout particulièrement emballées ces dernières années par le poids des obligations réglementaires.

Les chirurgiens-dentistes sont soumis à une modération de leurs honoraires évaluée avec « tact et mesure » qui encadre les pratiques tarifaires, à quelques exceptions. Ainsi, en vingt huit ans, les honoraires des principaux traitements prothétiques ont baissé en euros constants (46 % pour la couronne céramique).


La Carie avancée
Une de vos dents est cariée au point de ne pas pouvoir la reconstruire par des obturations classiques (plombage, composite, inlay). Une couronne s'impose, pourtant, il n'est pas nécessaire de dévitaliser votre dent.

Ancienne obturation

Une dent déjà obturée sur deux ou trois faces présente une nouvelle carie sous ou à côté de cette obturation. Mais la matière profonde subsiste.


Fracture

Une dent reconstituée par une opturation volumineuse : celle-ci a fracturé la dent et provoqué la perte d'une grande partie de la couronne.

Infiltration

Les dents du sourire (incisives, canines ou prémolaires) restaurées plusieurs fois par des composites de plus en plus importants, finissent par s'infiltrer de tabac, impuretés, etc.



Coloration

Une dent obturée par un amalgame, dont les éléments constituant le matériau se sont diffusés à l'intérieur de l'émail, développe une teinte peu esthétique.

Dent isolée

Suite à la perte d'une dent voisine, une dent saine s'est inclinée. Cette position rend inefficace la mastication et empêche le remplacement de la dent manquante.


La réponse classique de la dentisterie consistait à dévitaliser ces dents et à les protéger avec une couronne. Pourtant il est toujours préférable de conserver une dent vivante.